Lutins, elfes et farfadets
Saviez-vous que ces derniers, que l'on croise de temps à autre dans les campagnes, pour peu qu'on ait le coeur à larges bords, aiment, les soirs de grande révolution (ou de grande dévoration) - par exemple lorsqu'une année, ne pouvant déborder à son aise sur sa consoeur finit dans la gueule du loup de l'autre - aiment, je disais, à s'égayer dans les rues des grandes métropoles. Celui-là, au regard de faune, a coloré la nuit magique de sa face de lune rousse et grâce à lui, entre autre, nous sommes nous aussi passés de l'autre côté de l'année, sans encombre et a capella. Qu'il (et sa lutine avec - sans jeu de mot) en soit remercié ! Champagne !
ps : si vous arrivez à lire tout ça à voix haute sans respirer, bravo. Il devait me rester quelques bulles dans les doigts...